Barbara Nativel - Business Coach - Communication & Stratégie

Constellations familiales sur le thème de l'argent

J'ai le grand plaisir de vous informer que la prochaine session de constellations familiales aura lieu :

 

                                                          LE SAMEDI 14 JUIN 2014

 

                                                     De 10h à 17h 30 à Paris centre.

 

Une merveilleuse technique qui permet de résoudre rapidement certaines difficultés aussi bien d'ordre personnel que professionnel

Lors de cette session, je propose notamment des constellations sur le thème de l'argent. Si par exemple l'argent ne "vient pas à vous", si vous avez du mal à en gagner, à dépenser ou si vous dépensez trop et bien d'autres choses encore, la constellation vous permettra d'identifier votre rapport à l'argent, souvent en résonnance avec votre histoire familiale, et vous permettra de changer votre regard et d'être plus à l'aise avec la notion d'abondance et de prospérité.

De tous les outils de développement personnel que j'ai abordé c'est de loin celui qui m'a le plus apporté.

 Si vous venez à deux, tarif spécial de 100 euros par personne.

 Au plaisir de vous voir. N'hésitez pas à faire passer l'info à votre entourage.

Me contacter : 06 76 22 15 13

[email protected]

Qu’est ce qu’une constellation familiale?

Certains symptômes ou souffrances existent en nous, dont nous ne définissons pas vraiment l'origine. Ces maux sont souvent l’expression d’héritages familiaux inconscients ( secrets de famille, drames, exclusions…) qui ont des conséquences sur la vie des descendants.

Les constellations familiales explorent la dimension transgénérationnelle de nos problèmes et mettent en évidence les liens qu'ils ont avec notre histoire familiale, car nous nous inscrivons tous dans la trame inconsciente de notre lignée.

Le travail de constellation consiste à mettre en scène les difficultés prenant racine dans notre généalogie. Une représentation symbolique qui permet de vivre émotionnellement ce qu’on appelle la résolution de l’histoire familiale, qui mène vers un mieux être et du soulagement.

Comment se déroule une constellation ?

 La personne fait une constellation expose brièvement ses difficultés et, à la demande du constellateur, choisit dans le groupe des personnes qui vont l’incarner elle, ainsi que des membres de sa famille ou ses proches. Guidé par le ressenti du "représentant", le constellateur va analyser la situation, y amener des modifications, proposer des phrases “réparatrices”, libérant ainsi le système de ses dysfonctionnements. C’est en repositionnant les personnes que, peu à peu, va se construire une dynamique nouvelle. Cela peut sembler un  peu effrayant à certains, de prime abord. En réalité, c'est juste efficace et libérateur, que l'on présente une problématique personnelle ou liée au monde professionnel.

Vous pouvez, soit consteller, soit être choisi comme représentant, une expérience riche et puissante également.  (d’après un texte d’Isabelle Constant)

 Tarif : 130 € pour ceux qui constellent. 70€ pour ceux qui ne souhaitent pas consteller leur propre problématique.

 

 

 

 

Quelle est ma relation à l'argent?

MAIS AU FAIT… OÙ J’EN SUIS DE MA RELATION À L’ARGENT ?

Chacun d’entre nous entretient une relation à l’argent aussi particulière que l’est une empreinte digitale. Notre relation à l’argent dit beaucoup de nous, de nos valeurs, de nos craintes, de nos espoirs et plus généralement de la manière dont nous envisageons notre place dans ce monde.

Personne n’est insensible  émotionnellement au thème de l’argent. Il y a, en gros, deux sensibilités et chacune d’entre elle peut représenter un écueil et un frein. Ceux pour qui l’argent représente l’idée de liberté, de sécurité, de réussite sociale ou de bonheur iront courir après l’argent. Ceux qui ont des croyances négatives, qui considèrent l’argent et la richesse comme quelque chose d’intrinsèquement mauvais ou suspect, le rejetteront inconsciemment. 

Quel que soit notre « camp », se confronter en conscience à nos croyances sur l’argent est une manière de commencer à déminer le terrain et à prendre du champs pour  remettre l’argent à sa juste place : c’est à dire non comme une entité et une fin en soi mais comme un outil neutre au service de notre bien-être, de nos projets et de notre développement.

A l'invitation de la délicieuse Andrée Zérah, éminente organisatrice des soirée NLPNL :

 J'anime une conférence sur ce thème, mercredi 9 avril 2014, de 19h précises à 21h30  

 A l'institut Repère, 78, avenue du Général Michel Bizot 75012 Paris. Métro ligne 8

Station : Michel Bizot

RÉSERVATION : 01 45 04 93 37  ou : [email protected]   site NLPNL

 Participant : 8 euros pour les adhérents NL/PNL, 20 euros pour les autres.

Lors de cette conférence je vous proposerai une exploration de vos croyances et de vos projections par rapport à l’argent, grâce à des exercices ludiques et interactifs.

Cette conférence est tout public, venez nombreux et n'hésitez pas à en parler autour de vous. Buzz is bizz.

 

    

 

 

Comment sortir de nos dilemmes

Avoir du mal à prendre une décision importante, parce qu'on se sent tiraillé entre plusieurs options contradictoires est une situation que nous rencontrons tous.

Dans une conférence placée sous sur le thème de l'arbitrage, la psychothérapeute Isabelle Constant, dans une posture très coaching aborde brillamment ce sujet en nous proposant l'un des outils qu'elle a mis au point : "l'arbitrage intérieur". On reconnait là sa signature personnelle, qui est d'aborder un sujet sous un angle novateur de manière à nous inviter tout en douceur à une réflexion personnelle.

Cette signature "Isabelle Constant" est déjà bien connue des lecteurs du super blog Maman travaille, qui suivent  régulièrement depuis plus d'un an cette mini Web série qui s'appelle la minute psy, que je n'ai pu mettre au point, en toute complicité intellectuelle, que grâce à son talent et à son charisme.

 

 

 

Voici un lien vers l'un des derniers épisodes de La minute psy.  

 

 

Leadership et authenticité

Les conférences TED ont un succès souvent mérité. Beaucoup sont intéressantes, et certains exceptionnelles.

Je vous propose aujourd'hui le visionnage de celle de Brene Brown, l'une des meilleures à mon sens. Ca dure 20 minutes, on ne s'ennuie pas une seconde.

Brene Brown est chercheuse à l'université de Houston. Elle travaille depuis des années sur des thématiques passionnantes, encore peu explorées. Il faut dire que c'est assez  gonflé de traiter des sujets aussi top sensibles que sont : le courage et la honte, l'authenticité et la vulnérabilité. Surtout quand au début de sa carrière, son directeur de recherche lui donne la règle numéro 1 : " if you can't mesure it, it doesn't exist".

Le titre de son speach est : " le pouvoir de la vulnérabilité". Je vous invite à prendre le temps de la regarder et de mesurer en vous l'écho de que ce qu'elle dit. Séance d'autocoaching. Attention, après cela vous donnera peut être envie d'avoir recours à un coach! 

Un coaching bien conduit consiste à aller faire un tour en toute sécurité sur nos zônes de vulnérabilité - et nous en avons tous - avec comme bénéfice des relations plus fluides et plus agréables avec nous-mêmes et avec les autres, et un regard plus serein sur nos problématiques professionnelles et personnelles.

 

 

 

Savoir identifier nos besoins relationnels

Jacques Salomé est un auteur à succès. Il fait d'ailleurs partie du top ten des auteurs dans le domaine de développement personnel depuis de nombreuses années. Sa méthode est imparable : savoir parler à tous avec des mots simples et vrais de choses qui intéressent tous le monde. C'est plus facile à dire qu'à faire. Il a un talent incontestable pour cela.

Dans cette vidéo, il s'exprime sur le thème de nos besoins relationnels en commençant par le début : à savoir les identifier. Identifier, c'est prendre conscience et chaque prise de conscience nous ouvre de nouvelles perspectives et sont des pistes pour le changement et pour l'action.

J'ajoute que nos besoins relationnels sont très nombreux, et qu'à différents moments de notre existence, certains priment sur d'autres. Par exemple, quelqu'un qui traverse une passe difficile a particulièrement besoin de douceur dans ses relations aux autres.

Pour finir ce bref post, ne jamais oublier que celui qui est en face de nous a aussi des besoins relationnels, et bien souvent les mêmes que nous. Prendre conscience de nos besoins relationnels est une piste féconde pour des relations plus harmonieuses.

 

 

Le lien social est un besoin vital

Voici la suite de mon article sur la hiérarchie des besoins humains. Là, je relaie une publication de l'université d'UCLA :

NEURO: Pourquoi le lien social est aussi fondamental qu’un toit et de la nourriture (source UCLA - Université de Californie et Los Angeles)

Cet ouvrage du neuroscientifique Matthew Lieberman de l’Université de Californie-Los Angeles, « Social: Why Our Brains Are Wired to Connect » explique pourquoi le lien social est devenu un besoin humain fondamental au même titre qu’un abri, de l’eau et de la nourriture. Ce n’est pas un simple constat mais le résultat de l’examen de plus de 1.000 études portant sur les transformations de notre cerveau au cours de 250 millions d’années d'évolution qui font, écrit l’auteur, qu’aujourd'hui nous ne sommes pas seulement plus connectés mais « plus dépendants du monde social ».

« Être socialement connecté est la grande passion de notre cerveau », écrit le Pr Lieberman, l'un des fondateurs des neurosciences cognitives sociales, une discipline qui analyse comment les fonctions cérébrales sous-tendent nos comportements sociaux. Il exerce comme professeur de psychologie à l’UCLA et professeur de psychiatrie et des sciences comportementales à l'Institut Semel de l'UCLA de Neuroscience. Il explique ici que notre prédisposition sociale peut expliquer notre besoin actuel d’utiliser autant les médias sociaux ou de nous intéresser autant aux interactions sociales des autres à travers les « séries » ou les émissions de télé-réalité. Ainsi, selon sa théorie, Facebook et autres réseaux sociaux répondraient aujourd’hui à un besoin humain fondamental et ce besoin de lien social serait inscrit dans notre système d’exploitation pour des dizaines de millions d'années.


Un nombre croissant de recherches montrent la nécessité de la relation sociale pour la santé, physique comme psychologique. Cet ouvrage a passé en revue plus de 1000 études qui aboutissent à la conclusion que l’Homme est devenu, au fil du temps, de plus en plus socialement connecté au point d’être devenu dépendant du lien social. « Les mammifères sont socialement plus connectés que les reptiles, les primates plus que les autres mammifères et les humains plus que les primates. Le lien social est devenu essentiel à notre survie. L'évolution a induit que la meilleure façon de nous rendre plus efficace consiste à nous rendre plus social ». Ces conclusions sont également issues des recherches menées par l’équipe de l’auteur par imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) montrant que les mécanismes neuronaux font de nous des êtres profondément sociaux. Les expériences de rejet social ou de perte sociale entraînent de la douleur « dans le cerveau ». La transmission des idées à l’autre est une des conditions des changements sociétaux.

Des conséquences pour l’organisation de notre société : L’auteur indique que nos institutions, comme les établissements de santé par exemple, plus structurées en fonction de notre nature sociale et fonctionnant avec plus de lien social, seraient plus efficientes. Notre système éducatif, écrit-il devrait être guidé par les principes du cerveau social. Concrètement, cela signifie que l’enseignement pourrait être considérablement amélioré par l'exploitation du potentiel social du cerveau. En histoire par exemple, s’attacher plus aux grands personnages à leurs pensées et leurs motivations serait plus efficace que de les dénuer de tout caractère social et de les ramener juste à une période de l’histoire. « Trop souvent, nous enlevons ce qui rend l'information mémorable et nous insistons sur la chronologie en laissant de côté les motivations de l’homme ».
De même, une information est mieux mémorisée lorsqu’elle est partagée « socialement ». Pour certaines matières, l’auteur suggère des profs plus jeunes et des méthodes d’enseignement plus interactives.

Des conclusions valables aussi pour l’économie et les affaires : En comprenant mieux les motivations sociales de la population, les entreprises, certes ouvriraient de nouveaux marchés, mais, au-delà, en optimisant le lien social à l’intérieur de l’entreprise « activeraient » le système de récompense du cerveau de manière aussi efficace qu’avec une incitation financière. Une étude montre, sur 60.000 dirigeants que moins de 5% d’entre eux ont mis en place la « socialisation » dans l’entreprise.

Voici la Vidéo :  

 

 

La hiérarchie des besoins humains

Quand le client d'un coach se sent dans une impasse ou sous le coup d'une émotion parasite récurrente - par exemple se mettre très souvent en colère -, il y a, comme toujours, plusieurs voies d'entrées pour aborder le problème. Dans certains cas, l'une d'entre elles peut consister à aller chercher avec lui son besoin.

C'était le cas l'autre jour avec l'une de mes clientes. On a exploré, on a trouvé, mais après un temps de réflexion, elle m'a dit : "mais tout le monde a ce besoin!". C'était juste. Je lui ai alors donné un exemple simple : "tout le monde a besoin de repos, mais ce besoin de repos devient prioritaire quand on est très, très fatigué". C'est vrai que nous, humains, nous avons grosso modo tous les mêmes besoins fondamentaux, mais qu'à certains moments de notre vie, certains priment sur d'autres. La hiérarchie des besoins, c'est ça. 

Parler de besoins n'est pas une fin en soi, ce qui compte c'est le recul qu'on peut prendre dans une situation donnée en abordant le problème ainsi. Définir son besoin signifie non seulement en prendre conscience, donc écouter le message qu'il nous envoie à nous mêmes et surtout, à partir de cela, amorçer une réflexion sur le comment je peux satisfaire mon besoin.

Dans nos cultures, le premier à parler de la hiérarchie des besoins humains fut Epicure, un philosophe grec né au IVème siècle avant Jésus Christ. Il les classait en quatre catégories croissantes. J'aime rappeler l'apport de la philosophie à la réflexion sur l'humain, car la psychologie a une fâcheuse tendance à occuper le terrain en faisant table rase du passé.

Dans les années 1940, Abraham Maslow a mis au point un modèle simple de hiérarchie des besoins qui a séduit d'emblée et qui est toujours très coté en bourse. Ce modèle est connu sous le nom de pyramide de Maslow . En  gros, ça donne ça : 

 Le problème est que ce modèle n'est pas très pertinent, même s'il a le mérite premier d'établir une hiérarchie. Pour Maslow, la base de la pyramide constitue tout ce qui est de l'ordre de la survie. Et déjà là, ça coince.

L'une des découvertes les plus importantes dans les années 50 en psychologie fut ce qu'on appelle l'hospitalisme. Vous voulez que je vous raconte? Ok, on y va. On s'est rendu compte que dans des orphelinats, les nourrissons mourraient ou, plus exactement, se laissaient mourir. Ils avaient un toit, un lit, on les changeaient, on les nourrissaient. Alors quoi? Selon la théorie de Maslow, ils avaient tout pour que leur survie soit assurée. Mais, l'histoire de l'orphelinat le montre, leur survie dépendait aussi d'un autre facteur : la relation. Ces bébés, on ne leur parlaient pas, ils n'avaient ni tendresse, ni câlin. Depuis, on sait l'importance  cruciale du besoin de relation pour les petits d'hommes. Je ne suis pas sûre, par contre, qu'on ait suffisamment pris conscience que c'est le cas pour les adultes aussi. Et que dire des vieilles personnes qui tombent si souvent en dépression par manque de contact et de chaleur humaine. Même concernant les relations peu investies affectivement, se sentir délaissé, abandonné ou simplement pas pris en compte au sein d'un groupe peut provoquer des souffrances. qui, pour les êtres les plus fragiles peuvent aller jusqu'à la dépression et au suicide.

Mon prochain post abordera ce sujet vu du côté des neurosciences.

Et si on changeait de vie?

Selon un sondage CSA daté d'octobre 2013,  24% des français aspirent à changer non pas de job, mais de métier. Pour ceux ci - et pour les autres - s'ils sont parisiens, le théâtre du Palais Royal programme à partir du 17 octobre 2013, une série de témoignages de ceux qui, par envie ou nécessité, ont un jour franchi le pas. C'est tous les jeudis d'octobre, novembre et décembre 2013 à 18h30.

 

 

 

Nice to Meet You. Ze blog reprend du service

"Le nice to Meet You. Ze blog", après une longue période de coupable indolence reprend du service. C'est : chaque jour ouvré de l'info nationale et internationale, des coups de coeur et un zeste d'opinion personnelle. Heureuse de vous retrouver!

Si vous avez des suggestions de sujets ou des articles à proposer, si vous souhaitez être contributeur du blog, je suis preneuse!

Aujourd'hui, ça va dépoter avec les tribulations de Marlène Schiappa, fondatrice du réseau "Maman travaille" au Women's Forum de Deauville, IXème édition.

Ze blog

 

Mercedes Erra réaffirme son féminisme

En cette journée du 8 mars, trois choses me viennent à l'esprit.

La première est cette phrase qui m'a marquée. Je ne sais plus qui en est l'auteur : "Ah! Vous êtes féministe?Oui, pourquoi? Vous, vous ne l'êtes pas?". Je me souviens juste que l'auteur de cette phrase disait se trouver embarrassée et quasi culpabilisée pendant des années quand on l'associait au féminisme, jusqu'au jour où cette réponse lui vint. Cette réponse lui sert maintenant de viatique.

Que de femmes j'entends encore actuellement avoir un réflexe de repli et de justification, même devant une autre femme, avec des phrases du genre : "Je dis ça, mais je ne suis pas féministe". J'ai juste envie de lui répondre : "Dommage!". (J'ai un faible pour les formules lapidaires).

 

Personnellement, je suis féminisme, car pour moi le féminisme est un antiracisme. Point barre.

Second point : fleurit aujourd'hui un peu partout la formule : "Journée de la femme". C'est quoi ce truc? Là, ce n'est pas une formule lapidaire mais un sens dévoyé.

Le 8 mars est la journée internationale des Droits des Femmes. Ce n'est pas du tout la même perspective! Revenons à l'essentiel : 

 L'origine de cette journée se trouve  dans les manifestations  de femmes au début du xx^e siècle en Europe et aux Etats Unis, réclamant l'égalité des droits, de meilleures conditions de travail et le droit de vote. Elle a été officialisée par les Nations Unies en 1977. C’est une journée mondiale, l’occasion de revendiquer l'égalité, de faire un bilan sur la situation des femmes dans la société, de tracer des perspectives et des priorités.

Troisième idée, en cette journée fleurit d'année en année l'opportunisme manifeste de certains, des déclarations d'intentions non suivies d'effets, genre éphémères comités Théodule chers au Général de Gaulle, et j'en passe. Bla bla bla.

Alors focus sur la pétulante et si formidablement atypique Mercedes Erra.

Le pitch : la Maman de la petite Mercedes était femme au foyer, Papa ramenait les sous. Comme Mercedes petite était déja très observatrice et une fine mouche de l'analyse, voici sa conclusion : "Pour moi, mon père était celui qui s'amusait et  ma mère était celle qui travaillait vraiment".

Faut il rappeler que depuis Mercedes Erra est devenue une méga star de la com, qu'elle est Presidente de Havas Worldwide, la plus puissante boite de pub française, et qu'elle est mère de 5 enfants.

Mercedes Erra, d'une infatigeable énergie, femme de passion et de convictions, c'est aussi la co- fondatrice du Women's Forum for the Economy and Society. Présente auprès de Ni putes ni soumises, active à TerraFemina, elle lutte également pour la défense des quotas de femmes dans les conseils d'administration des entreprises.

Voici son speach, pour l'opération : "le 8 mars, c'est toute l'année", lancée par le ministère des Droits de la Femme. Opération à suivre sur Twitter #8marstoutelannee

 

 

L'équilibre vie pro, vie perso, on fait comment?

L'équilibre vie pro vie perso, c'est bien beau, mais on fait comment?

L’équilibre vie pro vie perso, on en parle, souvent. C’est dans l’air, preuve que le sujet est sorti de la sphère privée pour devenir un problème de société. Les entreprises étant diversement avancées en la matière, quelles solutions peut-on mettre en place individuellement ? Quelques pistes de réflexion et d’action.

« Lors d’une formation, j’ai demandé à des cadres supérieurs, tous des hommes, de me parler du moment le plus sympa de la semaine. Tous ont évoqué un moment passé avec leurs enfants. Leur émotion, leur tristesse de ne pas les voir suffisamment était palpable », raconte Barbara Nativel, coach et fondatrice de Creative Energy et du réseau Nice To Meet You.

Le désir d'équilibrer vie professionnelle et vie personnelle, s’il est exprimé ouvertement par la génération Y, concerne aussi les femmes et les hommes de la génération précédente. Il devient encore plus sensible lorsque l’on est parent. Y parvenir ? Un vrai sport ! « Globalement, les gens font avec le déséquilibre, ils se débrouillent au cas par cas, c’est le système D qui prévaut », observe-t-elle.

Lire la suite dans le blog de l'emploi (merci à Sophie Girardeau)

 

A l'origine de la communication non violente (CNV)

La CNV, kesako?

La Communication dite non violente (CNV) est l'une des méthodes que j'utilise de temps à autres en coaching, en particulier pour la résolution de conflits.

Pour faire court, voici la définition du processus de la Communication non violence, vue par David Servan-Schreiber , dans son livre "Guérir" : "Le premier principe de la CNV est de remplacer tout jugement par une observation objective, afin d'éviter les réactions habituelles de son interlocuteur face à une critique. Le second principe est d'éviter tout jugement sur son interlocuteur pour ne parler que de ce que l'on ressent, l'autre ne pouvant contester cela. L'effort consiste alors à décrire la situation en commençant ses phrases par « je », pour être « dans l'authenticité et l'ouverture ».

Cette définition est bien sûr limitante quant à l'outil.  Marshall Rosenberg, l'inventeur de la CNV, en présente une bonne introduction dans son livre "Les mots sont des fenêtres", au titre si poétique.

La méthode fait de plus en plus d'émules en Europe, ce qui est plutôt sympa mais, pour moi, voit ses limites déjà dans son nom (il fait souvent réagir négativement) et dans la lourdeur de la mise en oeuvre des dialogues qu'elle ouvre. Pour exemple, la méthode est présentée par le quotidien La Libre Belgique de la façon suivante :

« Ne dites plus : « Tu ne m'écoutes jamais ! », dites : « Lorsque je parle, pourrais-tu avoir l'élan d'attendre que j'aie fini avant de prendre la parole à ton tour pour répondre ainsi à mon besoin d'expression ? ». Ils exagèrent un peu nos amis belges, mais, il faut bien dire, il y a de ça!

Mais au fait, d'où vient la CNV?

La CNV, et c'est rarement évoqué, doit, disons le, presque tout à Thomas Gordon, lui-même très influencé par les travaux d'Abraham Maslow et de Carl Rogers, tous deux étant des acteurs majeurs des avancées en psychologie appliquée.

Personnellement, je suis plus sensible à l'approche de Thomas Gordon,  car elle met l'accent principalement sur la finalité (un dialogue fluide, respectueux, confiant et empathique entre les gens) et non sur le processus lui-même, c'est à dire la technique, comme c'est l'usage en CNV. En coaching, la technique, je l'apprends, je l'intègre, mais je ne la rend pas visible lors de mes échanges avec mes clients.

Thomas Gordon a mis au point sa méthode dans les années 50, il a été proposé 3 fois au Nobel de la Paix.

La méthode est basée sur le postulat suivant :  la « satisfaction mutuelle des besoins ». Si j’ai un problème que je ne peux pas exprimer, de mon propre fait ou parce que l'autre ne m'écoute pas, ou si l’autre à un problème non-exprimé, ou que je ne l’écoute pas, alors il nous sera impossible d'avoir une vraie communication.

La démarche proposée est la suivante :

• Poser clairement, les besoins mutuels. (qu'ils soient d’ordre factuel ou émotionnel).
• Eviter à 100% de recourir dans les échanges à des « messages à risques » qui sont de douze types : ordre, menace, morale, sermon, conseil, critique, flatterie, apaisement, analyse, jugement, question et ironie.
• C'est ainsi que dans le respect de soi et dans le respect de l'autre, on sera amené à trouver des solutions à la satisfaction des deux.

Thomas Gordon est aussi l'inventeur d'un point de vue qui fait florès dans les entreprises (euh, pas assez en fait) : la relation gagnant/gagnant, le fameux win/win. Le win/win, dans les échanges avec autrui, c'est mon gri-gri, mon chouchou, ma ligne, cochon qui s'en dédit! Le win/win n'est pas un point de vue, c'est à la fois un état d'esprit et une perspective confiante.

.LE MESSAGE DE THOMAS GORDON

Pour mes relations avec les autres

"Toi et moi vivons une relation que j'apprécie et que je veux sauvegarder.

Cependant, chacun de nous demeure une personne distincte ayant ses besoins propres et le droit de les satisfaire. 

Lorsque tu éprouveras des problèmes à satisfaire tes besoins, j'essaierai de t'écouter, de t'accepter véritablement, de façon à te faciliter la découverte de tes propres solutions plutôt que de te donner les miennes. Je respecterai aussi ton droit de choisir tes propres croyances et de développer tes propres valeurs, si différentes soient-elles des miennes.

Quand ton comportement m'empêchera de satisfaire mes besoins, je te dirai ouvertement et franchement comment ton comportement m'affecte, car j'ai confiance dans le fait que tu respectes suffisamment mes besoins et mes sentiments pour essayer de changer ce comportement qui m'est inacceptable. Aussi, lorsque mon comportement te sera inacceptable je t'encourage à me le dire ouvertement et franchement pour que je puisse essayer de le changer.

Quand aucun de nous ne pourra changer son comportement pour satisfaire les besoins de l'autre, reconnaissons que nous avons un conflit ; engageons-nous à le résoudre sans recourir au pouvoir ou à l'autorité pour gagner aux dépens de l'autre qui perdrait. Je respecte tes besoins et je dois aussi respecter les miens. Efforçons-nous  de toujours trouver à nos inévitables conflits des solutions acceptables pour chacun de nous. Ainsi tes besoins seront satisfaits, et les miens aussi . Personne ne perdra, nous y gagnerons tous les deux.

De cette façon, en satisfaisant tes besoins tu pourras t'épanouir en tant que personne et moi de même. Nous créerons ainsi une relation où chacun pourra devenir ce qu'il est capable d'être. Et nous pourrons poursuivre notre relation dans le respect et l'amour mutuels et dans la paix."

 Thomas Gordon

Si vous désirez en savoir plus sur Thomas Gordon, Marschal Rosenberg, Abraham Maslow et Carl Rogers, urgence Wikipédia.

 

 

 

 

 

Fernando Pessoa

 

"Dans la nuit où sont nées les étoiles, j’ai commencé à me consteller d’être. 

 Ma présence actuelle contient les âges antérieurs à la vie, les temps plus vieux que la terre, les trous de l’espace avant que le monde soit.

Dans la nuit où sont nées les étoiles, j’ai commencé à me consteller d’être. Il n’y a pas un seul atome de la plus lointaine étoile qui ne participe à mon être. Parce que Alfonso Henriques a existé, je suis. Parce que Nun’Alvares a combattu, j’existe. Je serais autre — je ne serais pas, donc— si Vasco de Gama n’avait pas découvert la route des Indes et si Pomba n’avait gouverné. Shakespeare fait partie de moi. Cromwell a travaillé pour moi quand il a construit l’Angleterre. En triomphant de Rome, Henri VIII a fait de moi ce que je suis. Pour moi, Aristote a pensé et Homère chanté. En un sens mystique et profond véritablement [...], le Christ est mort pour moi, Il y a deux mille ans, un mystique indien dont j’ignore s’il a existé a pris part à mon être actuel. A ma présence d’aujourd’hui Confucius a édicté une morale. Le premier homme qui a découvert le feu, celui qui a inventé la roue, celui qui a conçu la flèche —si aujourd’hui je suis moi c’est parce qu’ils ont existé."

 Fernando Pessoa (1888-1935) – Traduction de Séverine Rosset`

Sur le même sujet : constellations

 

Constellations familiales Paris juin 2012

Une journée entière de constellations, la dernière avant septembre. Un groupe joyeux, respectueux, réactif. De l'émotion et des rires partagés. Des situations posées parfois personnelles, d'autres professionnelles. Que de diversité, que de cas différents et passionnants, que de pas en avant vers du mieux être.

Une journée également fondée sur la rencontre et  la découverte de l'autre, autour

A propos de nos erreurs / On being wrong

Kathryn Schulz est partie creuser un créneau où peu se sont attardés. Elle est expert en erreurs. Quel drôle d'OVNI. Humour, légèreté, profondeur, sens du récit, tout y est. Elle y parle tour à tour d'aires de pic nic, de catastrophe pétrolière, de Saint Augustin et d'émissions de radio

Je vous invite vivement à prendre le quart d'heure nécessaire pour écouter son intervention à une conférence TED, l'une des plus remarquables qu'il m'a été donner de voir. Plus d'un million de clics, pas par hasard.

Gimmick : "je pensais qu'il allait de passer quelque chose, et quelque chose d'autre s'est passé".

Son intervention est en anglais, mais sous titrée en français. Enjoy!

Kathryn Schulz

 

Hommes= leaders. Femmes = assistantes

Les clichés sexistes ont la vie dure. Une grande enquête révélée par le Point le montre

Augmenter son niveau de confiance en soi, croire en ses possibilités, booster sa carrière sont 3 de enjeux majeurs du coaching.

Femmes et hommes ont intérêt à se faire coacher au moins une fois au cours de leur carrière. Les femmes plus que les hommes? Oui. L'article du Point nous explique pourquoi. Si l'article vous donne des boutons, sachez que moi aussi! lire l'article

 

supervision de coachs

GROUPE DE SUPERVISION DE COACHS

 J’ai le grand plaisir de vous informer qu’en septembre 2012, je mets en route un groupe de supervision de coachs.

La périodicité sera d’un samedi par mois jusqu’en juin 2013. A savoir 10 journées de 10h à 17h.

 Ce groupe s’adresse à la fois à des coachs en début de carrière - à condition qu’ils pratiquent déjà effectivement le coaching – et à des coachs confirmés.

 - Les pré requis :

-       au moins 10 ans d’expérience au sein d’une entreprise

-       avoir suivi un cycle complet de formation au coaching dans une école certifiée

-       posséder un bon niveau de motivation (engagement à suivre la formation jusqu’à son terme)

 J’effectuerai, à titre gratuit, un entretien préalable d’une heure avec chacune des personnes intéressées pour vérifier avec elle si ce groupe correspond à ses attentes.

 - A qui d’adresse cette supervision :

 Ce groupe de supervision s’adresse à ceux qui exercent ou souhaitent exercer du coaching en entreprise, ou dans un esprit entrepreneurial, que ce soit avec une expertise spécialisée ou sur des pratiques diversifiées.

 - L’esprit de cette supervision :

 Un peu de théorie et beaucoup de pratique. L’apport théorique se fondera sur des approches multidisciplinaires : les approches traditionnelles en psychologie et en développement personnel, mais aussi l’apport des sciences humaines et des outils de marketing et de management de type Solving Problem Program.

 Nous allons travailler, à partir de cas concrets de coaching, sur la finesse d’observation, l’intuition, la capacité de diagnostic, la créativité, la souplesse d’intervention, la fluidité, etc.… et observer collectivement les processus.

 - Ma posture personnelle :

 Un superviseur m’a dit : « un groupe est toujours à l’image de son animateur ». Je m’appuie sur 25 ans d’expérience d’animation de groupes et je valide ce point de vue. Je suis extrêmement réceptive aux interactions entre les personnes d’un groupe. Un groupe de supervision étant en lui-même un laboratoire de comportements, si je perçois que se présentent des dysfonctionnements, nous les travaillerons ensemble, dans un esprit de bienveillance, c’est à dire en analysant ce qui se passe et non ce que les autres sont.

 Je souhaite consolider les valeurs de loyauté, de solidarité et de support mutuel car certains membres du groupe pourront avoir le désir et l’opportunité de travailler ensemble professionnellement pour un bénéfice commun ou de s’adresser des clients.  

 - Le besoin des entreprises :

 Avant de monter ce groupe, j’ai interrogé plusieurs DRH, pour entendre ce qu’ils attendaient en matière de coaching d’entreprise, car je m’inscris dans une démarche qualité de type iso 9000-N.

 Leurs critères de choix :

 1-      des coachs qui par leur expérience antérieure connaissent le fonctionnement du monde de l’entreprise

2-      des outils diversifiés et bien intégrés par de la pratique

3-      un sens fort de l’éthique. (Ils craignent beaucoup les manipulateurs. Il est vrai que la profession, non codifiée, laisse le champ ouvert à des gens de toute espèce)

 - La nécessité de panachage :

 J’ai constaté qu’un groupe était plus opérationnel, s’il y avait à la fois du semblable et du différent. Dans ma démarche, le semblable, ce sont les pré requis. Le différent consiste en la mixité d’origines et de parcours de vie, d’expériences professionnelles et de formations théoriques. 

Quel que soit son niveau d’expérience en coaching, l’essentiel pour chacun est d’assumer pleinement sa présence en supervision afin de développer sa pratique et atteindre ses objectifs d’apprentissage en se servant de la variété offerte par le contexte collectif. Nous serons tous égaux, moi autant que les autres.

 - Le plus produit de cette supervision :

 Outre l’aspect supervision en lui-même, nous aborderons tout au long de la session les moyens appropriés pour chacun de définir son expertise et ses projets, de monter ou consolider son business, les astuces pour se faire connaître, etc.…

 S’il y a aussi demande de supervision individuelle, c’est ok aussi pour moi.

 Et, à la fin de la session, une surprise. Et ça, seuls les participants auront accès à cette information !

 - Nombre de participants :

 Maximum 10 personnes

 - Dates :

 Elles seront données mi juin

 - Lieu :

 Paris 1er

 - Tarifs :

 De 150 à 200€/ jour, suivant les revenus

 

 

 

 

 

 

 

 

Le coaching, le management et Quintilien

L'Antiquité au service du management?

Les coachs utilisent beaucoup les outils classiques du développement personnel. Pour ma part, dans ma pratique, surtout auprès des hauts managers, j'ai souvent recours aussi à une batterie de type : "Problème Solving Program".

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Pascal Ory et Damoclès

Qui ne connait pas l'histoire de l'épée de Damoclès? Une des métaphores de la Puissance accompagnée du péril immanent. Cette histoire est intéressante à décrypter pour un coach ou un psy : parle-t-elle en vérité de danger réel ou de ces peurs intérieures qui nous empêchent d'avancer et de nous accomplir?

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Les quatre ans du réseau Nice to meet You

Le soir du 29 mars 2012, nous avons souhaité ensemble les 4 ans du réseau interprofessionnel au féminin Nice to meet You. Ensemble est un mot qui me sonne bien aux oreilles. Nous étions 45 et nous